Je ne sais pas ce qu'il m'arrive ces derniers temps, peut être la chute d'hormones qui s'amorce...
Toujours est-il qu'en ce moment je suis une vraie bombe lacrymale. La moindre petite émotion, la plus petite des contrariétés, l'ébauche d'une vanne débile et me voilà en train de pleurer comme une madeleine.
Usant... Et pas du tout écolo vu la tonne de mouchoirs en papier que j'utilise.
Se pourrait-il que je sois atteinte d'un baby-blues pré-natal? Je dis ça, je ne dis rien, mais c'est tout de même étrange de pleurer 1h30 devant le désordre laissé par les plombiers en début de semaine.
Quelques fois j'aimerais que les semaines passent plus vite. Et puis je me reprends. Il faut au contraire que je profite de ces derniers moments seule avec Junior. Il est fort probable qu'il s'agisse de ma dernière grossesse. A moins... A moins que mon futur stérilet ne se fasse la mal durant une nuit intense de sexe.
Je n'aime pas être comme ça. Pleurer pour un oui, pour un non. Pleurer à chaudes larmes parce que les épices sont en désordre, parce que Baby Z me dit " je t'aime".
Ce doit être une mauvaise passe. Il ne faudrait pas qu'elle s'éternise. Allez, demain je m'achète des Frosties, et le lion sera en moi. Heu c'est un lion ou un tigre d'ailleurs?